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26 août 2021

Et ils dansaient le dimanche

 

 

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Parution aujourd'hui !

 

Chroniques de vies humbles dans une cité ouvrière durant les années trente où combats intimes et collectifs se mêlent entre des femmes, des hommes qui brûlent de  regagner la dignité de travailler et d'aimer la tête haute, retrouver souffle dans l'effort humain.

 

 

 

22 août 2021

Sur la route de Szonja

 

 

 

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Erzebeth Simon Boske n'est pas l'héroïne de mon prochain roman " Et ils dansaient le dimanche" à paraître le 26 aout.

C'est Szonja, également hongroise qui en est le personnage principal. Cependant leurs deux visages se dédoublent entre beauté et inquiétude dans cette Europe fragile des années 30.

J'ai laissé la première à son rêve festonné de dentelles pour suivre le destin de Szonja, cousu de fil de soie artificielle au cœur d'une cité ouvrière de l'Est Lyonnais.

 

23 juillet 2020

Des orties et des hommes dans la presse

 

franck mannoni des orties et des hommes,paola pigani,éditions liana levi

Un grand merci à Franck Mannoni pour cet article

paru dans le dernier numéro ( juillet-aout 2020) du Matricule des anges.

 

Un dimanche à la campagne   
 
PAOLA PIGANI REDONNE SES LETTRES DE NOBLESSE AU ROMAN SOCIAL EN RACONTANT
LE RUDE PARCOURS D’UNE FAMILLE PAYSANNE DANS LES ANNÉES 1970.
 
Comme déjà entrée en nostalgie,
Pia, une enfant, narre son
quotidien dans la ferme familiale
en Charente. Avec ses
phrases, pleines de « on » et de mots mêlés,
elle regarde, fascinée, ces adultes travailleurs.
Pour elle, le moindre événement se
transforme en récit merveilleux. Dès les
premières pages, le style de ce récit bucolique
emmène le lecteur vers un monde
oublié. De manière très originale, le phrasé
de Pia changera, suivra son évolution vers
l’adolescence. Pour l’heure, il s’agit encore
de donner de l’importance aux petites
choses : « Ecouter derrière la fenêtre les
vaches meugler, la trayeuse dans l’étable,
écouter l’eau bouillir, le clapotis de la
polenta ». Les thèmes attendus de la saga
d’un clan et de la vie au grand air sont bien
là : la rudesse des travaux, la bonté des
habitants, l’injustice des intempéries…
Certains passages rappellent les leçons de
choses d’antan et les livres de lecture :
« Après le travail, on finit par laisser les
pierres en tas au bout du champ, sans regret.
Papa et Adamo viendront les chercher avec
la remorque ». Cet univers a quelque chose
d’immuable, que la modernité et la technologie
ne parviennent pas à perturber. Un
effet renforcé par l’histoire tragique de ces
fermiers immigrés italiens, dont les
premiers représentants arrivent en France
après la Seconde Guerre mondiale. Les
grands-parents sont là, avec la nonna, la
grand-mère, « qui lit la vie des saints au
bord des prés ». L’occasion de rendre un
hommage vibrant à cette langue italienne
amenée à se perdre de génération en génération.
Moins présente chez les parents, elle
s’efface chez les enfants : le français est
devenu la langue maternelle et, de ce point
de vue, leur intégration a réussi. Il ne reste
plus que quelques mots épars, qui viennent
colorer le propos : « porca miseria ! »
Pour s’élever socialement, il faut abandonner
une partie de ses racines, constate
Paola Pigani. L’écrivaine va toutefois au-delà
de ces considérations. Elle dresse un
véritable portrait sociologique des exploitants
agricoles. Au fil des années, le métier
est corseté par les avis d’experts. Les machines
améliorent la productivité, mais
imposent leur rythme de travail. Les progrès
sont réels, mais balayés par la sécheresse
de 1976 qui ravage les monocultures.
Les méthodes apprises par le fils Adamo au
lycée agricole atteignent leurs limites. La
révolte gronde et les syndicats réagissent,
comme les Paysans travailleurs de Bernard
Lambert. La vie aux champs se politise. Jamais
toutefois Paola Pigani ne se départit
de son fil narratif. Pia reste à la manoeuvre
et raconte ces bouleversements qui s’entrechoquent
avec ses préoccupations adolescentes.
La vie au pensionnat, les
allers-retours de la ville à la ferme scandent
ses semaines. Le tout dominé par une prise
de conscience : « Je voudrais qu’il y ait sur
nos chemins et jusqu’au ras des villes des orties
et des hommes qui s’agrippent à nos rêves
éboulés, au souvenir de nos terres travaillées,
de nos terres en jachère, de nos terres rêvées,
même sauvées d’une décharge ou d’une sécheresse
». Un appel émouvant qui invite à
la sauvegarde de l’histoire paysanne et incite
au respect de l’environnement.
Franck Mannoni
Des orties et des hommes, de Paola Pigani
Liana Levi, « Piccolo », 320 pages, 11 €
 
 
 
 

05 juillet 2020

Deux écrivains sur la paille

 

 

 

 

Quand un libraire  bien intentionné met deux écrivains sur la paille...

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©carlodeboisset

 

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©laurentflechier

 

 

...cela donne de belles heures partagées au milieu des herbes folles et d'un public plus que présent.

 

Un grand merci à l'association La vague des livres, La librairie des marais et Bertrand Lamure .

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01 juillet 2020

Prochaine rencontre à Villefranche sur Saône

 

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                               L'association La Vague des livres, partenaire de ce week-end invite

   Mohammed El Amraoui  et Paola Pigani

 

Samedi 4 juillet



16 h: Sieste littéraire en compagnie de Paola Pigani

18h : Lecture croisée avec Paola Pigani et Mohammed El Amraoui


Ces deux auteurs dédicaceront au cours de l'après-midi leurs livres sur le stand de la Librairie des Marais.

Bienvenue à tous

 

Au Hangar 717 (717 rue de Thizy, Gleizé-Villefranche) dans le cadre de l'exposition "Autour du livre".

La librairie des Marais sera présente samedi 4 et dimanche 5 juillet 
Une sélection de livres sera présentée à cette occasion.

 

 

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03 juin 2020

Des orties et des hommes en poche

 

 

A partir de demain , vous trouverez dans toute bonne librairie indépendante

Des orties et des hommes en version piccolo! 

 

Desorties-Pic

 

Et un bel article sur  Baz 'Art le webzine 100/100 culture que je remercie vivement :

http://www.baz-art.org/archives/2020/04/28/38231755.html

 

 

 

 

 

 

 

 

«La prose de Paola Pigani est à elle seule un hommage à la sensibilité et à la finesse que lui ont léguées les territoires rugueux de son enfance.» Le Monde
«Un hommage tendre et poétique à l’enfance en Charente et au monde paysan finissant.» La Croix

 

18 avril 2020

Quand une éditrice n'oublie pas ses auteurs-trices...

et nous offre une vitrine rideaux levés pour exposer nos favoris...

Grazie mille

 

https://www.instagram.com/p/B-_xd7LqQyw/

 

 

06 avril 2020

Latcho Drom

 

 

 

 

 

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Pensées fraternelles pour celles et ceux qui se souviennent avec douleur de ces années vécues entre les planches du camp des Alliers. Merci à vous qui prenez soin de cette mémoire, salariés du centre social des Alliers à Angoulême et surtout ancien-nes interné-es et leurs familles, en particulier Sonia Patrac, Micheline Dechelotte et Alexienne Winterstein qui est au coeur de N'Entre pas dans mon âme avec tes chaussures.

 

 

https://www.france.tv/france-3/un-livre-un-jour/101877-n-...

 

09 février 2020

Prochaine rencontre en Bretagne

 

Cette rencontre initialement prévue   le 12 décembre 2019 , jour des cheminots en colère a été reprogrammée pour le 14 février , jour des amoureux.

Qu'ils soient  nombreux et fous  comme les vagues  là-bas pour que vie et poésie demeurent  un mouvement incessant...

 

 

 

Se donner la main à travers nos poèmes

Je n’ai vu qu’un seul homme

 

En plein champ


Il était grand

 

Si grand


Adossé au ciel

 

Paola Pigani

28 janvier 2020

Quelques jours à Metz

lycée hélene Boucher Thionville  janvier 2020.jpglycée de la communication Metz 24 janvier 2020.jpg 2.jpglycée hélène Boucher 23 janvier 2020.jpglycée de la communication 24 janvier 2020.jpg24 janvier Place saint Louis Metz.jpgMetz 2.jpg

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Merci aux élèves, enseignantes et documentalistes du lycée George de La Tour,  du lycée de la communication de Metz et  du lycée Hélène Boucher de Thionville.

Merci pour leurs lectures à voix haute, leurs créations visuelles, leurs questions, leurs poèmes, leurs sourcils froncés , leurs sourires...

Merci à l'association Lire à Metz et à leurs  charmantes accompagnatrices Hélène Pochard et  Nicole Becker.